lundi 15 avril 2024

Nounours' Boys / j’ai fait le 15 !

 Salut les Nours' 🧸

Je n’ai pas tout vu, sauf les nouvelles urgences de la clinique mutualiste : sobres et efficaces ! Non, ce n’était pas « Fragil » qui s’était blessé : il avait décliné de tenir son rang, prétextant un hachis parmentier à parfaire en cuisine… 

 

Après avoir subi, le week-end dernier, l’affront des « Archibal de Biarritz » qui nous ont pris pour des jambons, voire des charlots, il nous fallait affronter leurs alter ego de Bordeaux… Les « Archi » bordelais sont arrivés, armés de jeunes recrues extérieures, et déterminés à en découdre… Du côté des « Nounours’ Boys », les joueurs avaient réclamé aux entraineurs un échauffement « cardio » pour rentrer au mieux dans le match. Parmi « L’Académie », certains membres se sont regardés en se rappelant leurs échauffements du siècle dernier avec quelques étirements appuyés sur la main courante, des moulinets d’épaule ou des appuis frontaux sur sa main…

 

D’entrée de match, les « Castors » nous plantent un essai en force ! Sur le coup, 

« Vinc’ » se mit à claudiquer : il eut la sensation que toute l’équipe adverse lui avait écrasé le pied droit… Pour le jubilé de fin de saison, il s’est offert de belles « Santiag » orthopédiques ! Les suppléants sont là pour suppléer et les « NNB » continuèrent à 15 ! Ce premier essai ressembla à la danse des « Archi » : un p’tit tour sur eux-mêmes et s’en vont… Néanmoins, il piqua comme une banderille et la pique piqua surtout l’orgueil des « NNB ». La horde des ursidés repris les clés du camion et envoya Greg en terre promise, malgré ses pieds carrés... Comme l’archange du mont Saint-Michel qui étend ses ailes, Alban a perdu son aile filant tout droit aux urgences, pendant que, sur son aile, Maxime a filé tout droit, en urgence, dans l’en-but adverse…

  

Après, je n’ai plus rien vu du match si ce n’est Alban appuyé son coude, comme le penseur de Rodin... Jérémy qui nous accompagnait, m’a raconté des histoires de triplés, comme on parle de la première ligne : quand j’ai le blues, je fais le 12, mais là, j’avais fait le 15 ! A minuit, tel le Christ à Pâques, l’archange réapparut, tout sourire après son anesthésie : la douleur avait disparu et l’épaule remise en place.

 

Sur le pré, les « Nounours » ont confirmé leurs intentions par une belle victoire. Pour briller derrière, il faut bien que les « Avants » lustrent un peu le piano : « Zlatan » a volé au-dessus de l’alignement, « Julien1 » était partout ainsi que sur toutes les photos de notre reporter, et « Loulou » emporta chez lui le totem du « Talent NNB »... Les « Nounours » restent toujours invaincus : « Bayonne » considérant que les défaites de Biarritz sont « illégitimes, nulles et non avenues », tout comme l’était le Régime de Vichy à la Libération… Une victoire, un pied, une épaule, un p’tit bourre-pif, et un œil en forme de risotto. Cette dernière blessure de bord de touche valut le « Cagoulin » au Président qui avait mis du Dolpic sur l’œil de RISOTTO qui se mit à enfler à tel point que je ne suis pas sûr qu’il puisse encore lire ce bulletin. C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses de vaches : on dira qu’on a gagné de la tête aux pieds comme une équipe qui a la tête sur les épaules !

 

Pour finir en toute amitié, les « Tabliers Noirs » nous avaient concocté une belle réception : un ARCHI Parmentier... Un groupe, une équipe, des copains : putain, c’est beau le rugby… à 15 !


Biz - @+   JYB/K’nar – le 14 avril 2024

Tout Peut ! Rien Doit … Sauf le Respect !


 




 


lundi 18 mars 2024

Nounours' Boys / j’ai demandé à la lune !

 

Salut les Nours' 🧸

 


Décidemment, les rencontres contre Saint-Médard d’Eyrans tombent toujours en mars… L’an passé, la Grenouille s’était vue aussi grosse que l’Ours ! Même s’il n’est jamais bon de ressasser de vieux souvenirs et de revenir à ses vieilles lunes, il y avait quelques relents de ce match nul sur nos terres : il fallait laver l’affront ! Mais, surtout, les « Nounours », souhaitaient rendre, par une victoire, un bel hommage à notre ami, parti en lune de miel : au clair de la lune, mon ami « Nunuche »…

 

Les « Aruannais » nous attendaient dans un stade à l’ancienne… Le pré avait un air penché et on craignait que le tracé les lignes n’ait contourné un trou de taupe… Les candélabres nous accordaient un éclairage à mi-temps tandis que, de l’autre côté, le fond du terrain devait se contenter des reflets de la lune. Au loin, tout près du club-house, les tables blanches, sans nappe, étaient alignées et apprêtées par les « popotiers de la grignoterie »… Comme la lune était aussi blanche que les tables, le dicton populaire nous fit manger dehors : heureusement, « l’Académie » avait mis damart et polaires, tours de cou et bérets !

 

La lune avait mangé les nuages et il faisait bon... Ses cornes étaient en haut : il fallait bien que « Nunuche » soit assis pour suivre le match ! Il devait y avoir de l’amour à lui dédier, pour que les mecs se mettent avec une telle âpreté dans le match… Sans se promettre la lune, la victoire ne fut pas aisée à obtenir : quelle joute, mes amis ! « Pottok » avait mis son casque de spationaute soviétique : ça allait frôler la lune ! Une défense de fer, une muraille en guise de « bravitude » et une solidarité sans faille à tous les endroits du terrain… Des herses défensives comme des essuie-glaces, une sorte de rempart mobile et inflexible. Ça découpe, ça récupère, ça rebondit et ça offre aux « courent vite » de notre équipe des essais de cinquante mètres »... Notre artillerie a répondu, coup pour coup, par salves furieuses… Les avants devenaient trois-quarts et vice versa : le premier essai en fut le reflet, comme un rayon de lune… Cinq essais comme cinq banderilles qui piquent les flancs de nos hôtes, de quoi les rendre « mal lunés » !

 

Du côté de « l’Académie », pas besoin d’aboyer à la lune : tout était clair (de lune) ! Le débat désigna à l’unanimité le talent du match : Windrille YOUCHTCHENKO a brillé et mérité du « Trophée des NNB »! Tellement tout fut idéal dans cette partie, pas de « Cagoulin » car aucun ne le méritait : c’est le Président qui l’a dit ! Petit bémol, cependant : le domaine de la touche… Le lanceur ? Les lifteurs ? Le sauteur ? Certainement, un problème d’attention : quelqu’un devait être dans la lune !

 

Un coach heureux pour sa première d’avoir fait un beau pied de nez aux « Aruannais »… Un président aux anges et un Capitaine aux larmes : « Je vais vous dire un gros, gros, gros merci pour cette victoire en terre aruannaise ! On l’a fait, les gars : y’avait de l’envie, de la solidarité, y’avait du jeu… Vous m’avez fait vibrer les gars : vous avez tout donné ! Une solidarité en défense de ouf : c’était énorme, c’était énorme ! « Nunuche », de là-haut, nous a vus, tout le monde était avec nous… Je suis fier de vous et merci les gars ! »

 

Certes, la victoire est belle quand on repart avec un bonus offensif… On avait remis l’église au milieu du village et sous la lune ! Une victoire délicieuse comme un sanglot étouffé, comme une caresse chaude, pour une silhouette accrochée aux nuages… « Nunuche », assis sur son croissant de lune, a dû passer une super soirée ! Pour nous, la lune est la même où qu’on aille !

 

Biz - @+   JYB/K’nar – le 18 mars 2024

Tout Peut ! Rien Doit … Sauf le Respect !



 





 

vendredi 23 février 2024

Nounours' Boys / Copain !

  

Salut les Nours' 🧸

 


 Les « Nounours’ Boys » sont en deuil ! Ils ont perdu leur mascotte : Jean-Claude TOURBIER que tout le monde appelait affectueusement « Nunuche ». En la circonstance, c’est difficile de trouver les bons mots… Aussi, ai-je compilé ceux que vous m’avez confiés pour évoquer notre ami !

 

J’ai toujours eu une tendresse particulière pour ce bonhomme qui n’a jamais fait de manière. En tout cas, il ne laissait personne indifférent : sa naïveté, son innocence, était son originalité, aussi touchante que sincère… Sa fidélité aux « Nounours’ Boys » n’avait d’égal que son enthousiasme à nous rejoindre chaque jeudi et pour chaque match. Quelque part, il donnait une âme à notre groupe : c’était notre « Copain », comme il aimait à le dire : « T’es mon copain ! »

 

Ce copain-là, on le doit à son parrain qui avait été le dégoter au milieu de la lande girondine, du côté de Salles. Là-bas, il y était connu comme le loup blanc ! Y compris à Bordeaux, tout le monde avait entendu parler de ce petit bonhomme qui arpentait les rues, qui connaissait les lignes de bus ou de tram par cœur, bien que ne sachant ni lire, ni écrire. Comme son parrain, ils étaient de la même classe, celle de « 46 », comme Nounours, Pierrot, Alain… C’est le premier à s’évader !

 

Jean-Claude a eu l’intelligence de se réfugier dans les associations, notamment la nôtre où il a pu panser ses blessures et assouvir sa passion du rugby : résilience, quand tu nous tiens ! Aux « NNB », il était entouré par tous, mais plus particulièrement par Hubert, mais aussi par les Présidents successifs. Je crois que nous étions sa famille ! On savait s’occuper de lui… « Je suis bien avec vous, les Copains ! » aimait-il à répéter ! En retour, il avait toujours un mot gentil et il s’interrogeait régulièrement sur la santé ou de le devenir de nos enfants ou de nos compagnes. Il savait tout sur nous tous, beaucoup plus que chacun d’entre nous en savait sur lui. D’abord, « Tabliers Verts », il fut aussi de l’aventure « Noire » et de l’équipée « Rouge » : la couleur ne fait pas l'homme !

Indéniablement, il avait l’amour des « Nounours’ Boys » chevillé au corps… L’amour des « Nounours’ Boys » chevillé au cœur ! Il était le premier à s’inscrire à nos sorties. Qui ne se souvient pas du week-end où il a failli s’envoler en faisant du char à voile ? Il y eut aussi la partie de cache-cache lors de la féria des bandas, à Condom, tout près de chez « Gépéto »… On peut également évoquer la « brésilienne » de Barcelone…

 

Il fut aussi le créateur du rugby à « ne pas le toucher », générant chez lui quelques excès de confiance pour prendre la place du talonneur titulaire…  On se souvient tous de la tortue géante qu’il l’a emportée pour marquer un essai entre les poteaux…  Cela prouve que tout le monde a sa place dans le rugby, sur le terrain comme autour ! Jean-Claude, lui, il s’occupait de la touche, c’était notre arbitre de touche officiel : une réelle preuve de confiance… Que du bonheur pour lui !

 

Autre passion, la pétanque : à ce jeu, il ne faisait pas le mariole ! À tel point, que son club de pétanque l’a emmené jusqu’en Thaïlande pour participer à un concours. C’était un excellent pointeur, dans tous les sens du terme ! La langue relevée, le cigare au bout des lèvres, il avait l’art du « biberon »… Attention, fallait pas le taquiner sur ce terrain-là : le garçon pouvait être susceptible ! Un mot de travers, une phrase mal comprise et hop il demandait sa mutation dans un club voisin… Ces derniers temps, on parlait de lui comme un as du bricolage : untel voulait lui emprunter son perforateur, un autre savait qu’il maniait la brouette, sans parler de sa clé crocodile…

 

Partout, Jean-Claude aura laissé une longue histoire ! Chez les « Nounours’ Boys », l’histoire aura duré plus de 20 ans… Bas les masques, ce mardi gras, ce mardi 13, restera un jour maudit, comme un caillou dans la chaussure des « NNB ». Sur son cercueil, on y a déposé, comme des repères d’optimisme, un maillot des « NNB », un nounours en peluche, une boite de cigare, et une belle composition florale en forme de ballon de rugby.

 

« J'étais bien avec vous, les Copains ! »

 

Biz - @+   JYB/K’nar – le 23 février 2024

Tout Peut ! Rien Doit… Sauf le Respect !

 

    



lundi 12 février 2024

Nounours' Boys / nobody is perfect !

 

Salut les Nours' 🧸




Ce qui est sympa chez les « Nounours », c’est que tu peux compter sur quelques aficionados pour t’aider à faire le compte-rendu d’une soirée à laquelle tu n’as pas assistée… Cependant, il semblerait qu’ils n’aient pas vu la même chose et tu dois te contenter de la phrase : « vois avec les autres, si tu trouves mieux ! ». 

 

En 1972, la journée libérée des enfants est passée du jeudi au mercredi. Génération « boomer du mercredi », les « Archiball » nous recevaient en milieu de semaine… Pas déstabilisés pour autant car habitués à la semaine des quatre jeudis, les « NNB » débarquèrent avec une trentaine de joueurs et une « Académie » réduite et emmenée par les « Tic & Tac » de Saucats… Il est vrai que le début de semaine fut consacrée à une organisation d’un covoiturage sans faille : un espèce de « bla-blacar » à la Greta Thunberg.

 

Pour ce premier match de 2024, la météo était en mode crachin. Les gouttelettes cascadaient sur la fibre synthétique tandis que la pluie se miroitait à la lueur de l’astre nocturne. Nous sommes dans le Parc « Ceva » de Musard et le lieu est devenu mythique tellement il est hanté de souvenirs en damiers bleu et blanc.

 

Trente ursidés et quinze castors : cela autorisait beaucoup de changements et quelques prêts aux « Archiball »…  Pour faire le compte, il était convenu de jouer la partie en trois tiers-temps de vingt minutes chacun, dont le premier « à toucher ». Experts de « l’Air-Rugby, » nos hôtes remportèrent le premier acte (2-1) ; les « NNB » plus habitués aux plaquages et aux rucks, s’offrirent la revanche et la « belle » avec quatre essais de belle facture.

o   « Brindille Gromiko » s’illustra dès les premières minutes du match : il a couru, il a couru, et on ne l’a jamais revu… sauf dans l’en-but !

o   Alban, à la sirène, marqua sur une sortie de ruck, comme un trois-quart

o   Greg, comme dab, marqua un essai dont il a secret : feinte de passe, course de quarante mètres et touchdown (à quand le « trophée NNB » pour ce joueur talentueux ?)

o   Siegfried est venu conclure une action d’anthologie… De qui ? D’antho… Non, de Rémi ! L’homme de la « shrinkflation » ne s’était pourtant pas économisé… Il avait mis dans son cabas une percée plein champ qui avait médusé les adversaires… Il ne lui restait plus qu’à aplatir le ballon sous les vivas des supporters : « mais, aplatis, putain ! ». Heureusement, « Zig » est venu le secourir en finissant l’action d’éclat, sans pour autant tuer le ridicule de la situation : « Cagoulin » pour le consommateur du 19h45 ! Un jour, il nous donnera surement sa version, peut-être à la télévision…

 

L'imperfection est beauté, la folie est génie et il vaut mieux être totalement ridicule que totalement ennuyeux… D’autres accesseurs auraient pu prétendre au « Gagoulin » : Salem devenant sourd (sans commentaires sur sa vie privé) ; Xav’ pour son jeu au pied « lucucien » ; Zlatan pour sa gestion d’un quatre contre un… Il n’est jamais bon de se moquer des autres car tel est pris qui croyait prendre !

 

Le mieux étant l’ennemi du bien, il faut reconnaître que la perfection est un chemin et non une fin… Et la percée de « Julien1 » fut un beau chemin. Le lauréat du « Talent NNB » resta cependant humble et modeste, relativisant sa prestation par quelques lancers pas droits ou des passes mal ajustées : sûrement, un problème de lunettes. La perfection ne réside pas dans ce que l'on voit mais dans ce que l'on veut voir ! « L’Académie », magnanime, lui décerna le trophée en bois qui finit dans un bureau désert, au fin fond d’une zone industrielle, entre deux plannings caduques et une paire de chaussures à aérer : nobody is perfect !

 

Le match s’est terminé comme il avait commencé, par une danse folklorique : le « haka de l’ours », telle une empreinte caractéristique. Tout ce joli petit monde s’est retrouvé dans le mythique « trou à rat » des castors. Débats, commentaires, envolées d’assiette, ambiance garantie… Merci aux « Archiball » pour leur accueil et leur cuisine !

 

Biz - @+   JYB/K’nar – le 11 février 2024

Tout Peut ! Rien Doit … Sauf le Respect !


  




dimanche 3 décembre 2023

Nounours' Boys / t’as mal où ?


 

Salut les Nours' 🧸

 

 

L’hiver commençait son compte à rebours, en tissant sa toile moelleuse… Que j’aime ces premiers frissons d’hiver ! Autant la saison décline, autant le vent fraichit dans la plaine de Romainville : l’Académie avait sorti ses moufles et s’était enrubanné le visage… En cette veille de la sainte Catherine, les Nounours commençaient leur phase d’hibernation en recevant les « Tamalou » de Sadirac.

 

En juin dernier, sur le coteau de Sadirac, les « Tamalou » nous avaient promis de venir à Pessac remettre les pendules à l’heure… d’hiver ! C’est bien connu, à la sainte Catherine, tout bois prend racine et il faut bien concéder que les « Nounours’ Boys » ont pris racine dans leur camp pendant tout le match… Les « Tamalou » étaient venus avec la grosse équipe, en mode commando ! Les « Nounours » avaient retourné leur tunique pour revêtir un blanc angélique, tels des oies blanches… De but en blanc, nos hôtes ont pris possession de notre camp sans jamais le quitter, c’était prévisible, presque cousu de fil blanc ! De percussions en colissions, les « pseudo » rochelais ont pilonné sans cesse jusqu’à franchir la ligne blanche : ils ouvrirent naturellement le score !

 

Ce jeu au près avait cependant des failles au large et les « Nounours » s’y engouffrèrent avec leur vitesse et leur dextérité. Xavier RIVES, tel son illustre homonyme, mit son casque noir, courut plus vite que son ombre et égalisa. Au repos, le coach (qui s’était réchauffé le gosier avant le match) expliqua la stratégie : « Toi, tu plaques ! Toi, tu plaques ! Toi, aussi ! ». C’est ainsi que le « Soldat Rose » sortit la baïonnette… « Julien1 » se saisissait de ses adversaires comme on descend des futs de bière à la cave, tandis que « Julien2 » était en mode commando… Le grand « Zlatan » était moins arrogant et se consacrait aux taches plus obscures… Même, même « La Brindille » prenait tout ce qui passait près de lui ! Au milieu de ce pilonnage, les Gazelles ont éclairé la nuit : Grégory puis Geoffrey ont permis au « NNB » de prendre le large au score…

 

Nos amis sadiracais sont repartis à l’assaut avec la même stratégie. Avec ce jeu réduit, ils ont réduit le score et tenté en vain d’égaliser… Les noirs avaient fait chou blanc ! Les « NNB » ont campé sur leurs positions, défendant corps, bec et ongles, sans jamais capituler ou hisser de drapeau blanc. Dans ce « remake » du quart de finale de la Coupe du Monde, les « NNB » ont tenu le rôle de la gazelle (springbok) et ont gagné d’un tout petit point ! L’arbitre n’y était pour rien pour cette fois bien que son prénom ait été entonné comme dans un concert de la « Bruelmania »…

 

Dans la bataille de Romainville, il y a eu moult dégâts physiques. En effet, il y avait du monde dans la salle d’attente du « Kiné » :

-         T’as mal où, Stéphane ? Au genou : on va couper au-dessus pour ne pas que ça s’infecte…

-         T’as mal où, Constantin ? À la cheville droite : échange tes chaussures…

-         T’as mal où, François ? Au pied : mets tes moufles…

-         T’as mal où, Mathieu ? À la tête : alouette…

-         T’as mal où, Salem ? Au genou : hibou, caillou…

-         T’as mal où, Coach ? Il n’avait rien faire contre le mal de tête de Toutut…

 

On a procédé à la remise des diplômes lors du repas d’après-match. Brillant sur son essai ainsi que lors la défense de « Fort Alamo », Geoffrey BRUSSAUT reçut le « Talent NNB » qu’Alban lui a transmis en différé… Pour le « Cagoulin », l’homme à la voix doucereuse et au verbiage volubile a été pressenti, mais on a eu peur pour le déguisement… Enfin, pour le « Tricotin », vous l’avez compris, on n’a eu l’embarras du choix ! Félicitons les « Tamalou » pour nous avoir donné autant de mal !

 

Les « Tabliers Verts » étaient en verve et nous avons tous saucé notre assiette tellement « Beb » nous a régalé. En bon hôte, le capitaine de soirée, Salem, a fait le discours de circonstance et il a fini la nuit au « B11 » avec autant de « Nounours » que de « Tamalou » qui n’avaient mal nulle part !

 

Biz - @+   JYB/K’nar – le 02 décembre 2023

Tout Peut ! Rien Doit … Sauf le Respect !