Salut les Nours' !
Belle soirée que cette
cérémonie des « NOUNOURS d’OR 2022 » !
On s’était donné
rendez-vous dans la prairie de Lulu, aux confins de l’aéroport de
Bordeaux-Mérignac : embarquement immédiat ! Embrassades,
retrouvailles et bas les masques : qu’on nous donne l’envie d’avoir envie…
Si quelques « covidés » de dernière minute étaient absents, on a eu
droit au bal des revenants. Mathieu revenait sans son attirail de parfait
secouriste ; Youcef, le « Tolérant », avait laissé tomber sa
tenue du steward ; Herwig, le « Baron Noir », était enfin disponible
pour faire la photo officielle de la bande des quatre présidents, instigateurs
de la révolution culturelle des « NOUNOURS’ BOYS »… depuis 1986.
Après quelques calages de
calendrier utiles et appréciés (déplacement à BERGERAC en bus ; anniversaire
des 35 ans en juin ; commande des chocolats de Pâques), « BastaPrez »,
garant de la grand-messe, laissa tomber le micro pour prendre le mégaphone à la
mode du « Morning Live », l’émission qui réveillait les voisins… La
soirée pouvait commencer ! Six « NOUNOURS d’OR » étaient
inscrits au menu de la cérémonie :
- préambule, le « Président
d’Honneur à Vie » remit à chacun un maillot des NNB avec toute la solennité
qui sied à ce cérémonial. Un rituel toujours chargé en émotions ! Émouvant
pour les uns, unique pour les autres, une séquence qui fait le mythe et le
charme du rugby. Les mots sont pesés, pensés, réfléchis ; la poignée de
mains ferme, franche et respectueuse. C'est un héritage qu'on reçoit, pas
uniquement un simple maillot. Il faut savoir en être digne… Les NNB n’ont pas échappé à la tradition !
- la « Nounours
Académie » était à l’honneur pour son soutien sans faille. Darno, le Vieux
Coach, Beb, Hub, Falcon, Augigi, K’nar… Tous ces fanatiques de la main courante
et du bord de touche qui vous expliquent le rugby, sans se vanter (ou pas trop),
en espérant que leur expérience servira aux générations futures, histoire de
rendre ce monde un peu meilleur, ou plutôt, moins pire… Des vieux cons, quoi !
- le « Nounours de Platine » à Jean Luc, l’ancien « Prez », pour son quinquennat. Il a réussi à nous faire traverser la pandémie sans défaillir et conserver la foi des NNB. Un bon président, c’est celui qui pense aux autres ses et pas juste qu’à lui… J’aimerais bien qu’il se teigne les cheveux en blonde platine !
- « Charly » a
reçu sa « Peluche » pour son organe… vocal : Je Suis Charly !
Bien sûr, on lui réclama un extrait de son registre. Alors, il s’est mis à nous
chanter d’un quartier du vieux du Québec, des jours qui ressemblent aux nuits
et vice-versa, et d’un soleil qui devenait sa joie de vivre… Toutes les « Émilie »
de la soirée n’avaient que des yeux mélancoliques pour lui et la salle s’est mise
à chanter : la-la-la-lala-lalalalala !
- « Beb » revint sur le devant de la
scène pour son omniprésence en cuisine… , Toutes les femmes le disent :
rien de plus séduisant qu'un homme qui cuisine ! Main à la pâte, coup de fouet,
velouté, équeutage, prendre soin de son couteau… Voilà qui explique pourquoi
Casanova en savait autant sur les arts culinaires.
- « Nunuche » fut honoré au titre de meilleur arbitre de touche de la GIRONDE… Il reçut, en récompense, toute la panoplie du parfait juge de touche avec, bien évidemment, un… gros bâton !
- Enfin, « Antoine le Rosé » fut intronisé MIP (« Most Improved Player »)… Va savoir pourquoi ? Se serait-il amélioré au fil des années, comme le bon vin ? Un panachage de vin rouge médocain et de vin blanc alsacien ? En fait, il est tout à la fois : un brin « fouteux » et un soupçon de « rougueby »… Un mélange de plusieurs styles qui l’ont rendu indispensable dans l’effectif des NNB !
Merci à tous pour votre
présence : on recommence l’an prochain !
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