Salut les Nours' 🧸
« A Day In The Life ! » :
un jour dans la vie … Ce titre des Beatles s’applique idĂ©alement Ă la rĂ©ception
des « Tamalou » de Sadirac … La mĂ©lodie, jouĂ©e dans la tonalitĂ© de
sol majeur, rappelle le clapotis de la Pimpine et la douceur de vivre apaisante,
au pied de l’Ă©glise, ont contribuĂ© Ă l’harmonium local : un coin de « Penny
Lane » sur le coteau !
Néanmoins, son vrai centre de gravité se
retrouva sur le pré vert, avec ses grands poteaux qui défient les nuages dans
le ciel … L’affiche Ă©tait belle : les « Tamalou » de Sadirac
accueillaient les « Nounours’ Boys » de Pessac. Cette annĂ©e encore, c’Ă©tait
le « Strawberry Fields … Forever ! ».
On dĂ©buta par une petite photo de groupe : « Come
Together ! ». Puis, le match prit des allures de mĂ©tĂ©o : beau souvent et
parfois un peu lourd. En effet, que de beaux mouvements concrétisés par de superbes
essais … Mais, jouer Ă la fantasia n'est pas exempt de danger : « Hey
Jude », ne gâche pas tout ! Un dĂ©but de bagarre gĂ©nĂ©rale s’est abattu
comme la foudre ... L’orage a grondĂ© comme un coup de caisse claire Ă
contretemps : y’avaient les virulents, y’avaient les pacifistes … Les
seconds tentant de calmer les premiers qui eux-mĂŞmes attendaient que les
seconds les tempèrent … Au final, rien de bien mĂ©chant ! « Let it Be »
: qu'il en soit ainsi !
Fin du match et haie d’honneur : « Eleanor
Rigby » ou el Honor Rugby ! La messe Ă©tait dite : victoire des NNB par
4 essais, accompagnĂ©s de l’universelle onomatopĂ©e : « yeah, yeah, yeah,
yeah » … En face, deux violons discrets ne firent pas trembler la sĂ©rĂ©nitĂ©
harmonique des ursidés. Il n'y a rien que tu ne puisses faire, ni rien que tu
ne puisses dire, mais tu peux apprendre Ă jouer Ă ce jeu, it's easy !
L’AcadĂ©mie des
chœurs raffinés, toujours aussi nombreuse et présente, descendit la gamme et désigna
Vincent DUBOIS pour son geste talentueux que l’on apprend dès l’Ă©cole de rugby :
ramasser le ballon en pleine vitesse et filer Ă l’essai … « I want to hold your
hand » ! On peut regretter les blessures du « Basque » (cheville) et de
« Julien1 » (mollet). Tricotin
et Tricot1 ont compté leurs années passées : when I was younger, so much
younger than today … « Help » ! Quant au « Cagoulin », il fut dĂ©cernĂ©
Ă « Fragil » : demander Ă sortir après trois minutes de jeu parce qu’on
est « cramĂ© », ce n’est pas passĂ© inaperçu, tout comme le « Yellow
Submarine » …
Puis ce fut l’heure des pichets de bière que
le tout le monde entier a repris Ă Ă l’unisson. Sur le parvis du club house, on
Ă©tait Ă « Abbey Road » ! MĂŞme « Nunuche » branlait du
chef, comme McCartney agitait sa coiffure au bol … Comme pour les Mousquetaires,
le « Fabulous Four » Ă©tait trois avec reprises musicales … Bref, une
soirée agréable, discussions amicales, repas copieux, envie de se revoir :
« All You Need Is Love » !
Tard dans la nuit, on s’est dit au revoir : « Hello,
Goodbye » ! Cela a Ă©tĂ© une nuit d'une dure journĂ©e et beaucoup ont dĂ»
dormir comme des marmottes : « A Hard Day's Night » ! Mais,
tout ça c’Ă©tait hier … « Yesterday ».
Biz -
@+ JYB/K’nar – le 06 juin 2023
NB :
Dernière anecdote ! Tous les NNB avaient eu un « Ticket to Ride » pour
rentrer, sauf un seul : Charly ! The « Day Tripper » se transforma en night
dripper : hey baby, « You can drive my car » ! Quand la maison bleue lui
demanda ses papiers, il s’est Ă©vanoui dans la nature … « Get Back ! »
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