Salut les Nours' !
3 jours que le printemps est arrivé, 4 jours qu’on est confinés…
Je rédige donc ce billet
d’humeur comme s’il n’y avait pas de rupture de la normalité. Il sera
évidemment contextuellement à relativiser… En fait, le monde était devenu fou et
il menace aujourd’hui l’humanité entière. Le monde est malade. Il y a eu un avant
COVID-19, il y aura un après qui ne sera pas spécifiquement identique.
Dans les rues de la ville déserte, tu ne sais plus où tu es, ni dans
quelle époque tu viens de basculer. On dirait les couloirs du temps des « Visiteurs » :
ce vide, tu n’as jamais vu ça, sauf dans un film post-apocalyptique. Qui aurait
pu imaginer une telle dystopie ? On n’est plus dans les faits divers !
On serait plutôt dans le fait d’hiver ! Est-ce le mal ultime à la couleur
anthracite ? Bien sûr, nous n’en sommes pas rendus à cette extrémité-là, même si
on est tous là pour en finir comme dirait le pessimiste, comme un requiem
mélancolique.
On attend donc l’antidote ! Les chercheurs cherchent et fabriquent
des crash-test pour éviter qu’on s’explose comme des
pop-corn. Les lignes vont bouger. Dans l’incertitude de ce que sera demain, on
s’est dit qu’il fallait vivre l’instant présent et d’en prendre le temps.
Prendre le temps de regarder les nuages alors qu’on a rarement pris le temps de
se regarder dans les yeux. Les nuages, ces pensées à tire-d'aile, cette porte
ouverte sur l’imaginaire alors que notre groupe est là à portée de main, à
portée de vue, à portée de voix, sous notre nez. Ne laissons pas nos rêves s’atrophier !
Je connais le remède ! Il est là, tout près de nous : les Nounours’
Boys : un groupe divers, une famille, un équilibre, une force, un refuge… Un
puzzle en orig-amis, des amis soula-gens, des gens-t-île… comme une île dans l’océan,
une terre-happy. Une bienveillance authentique. Des fraternités qui naissent
sous un déluge de promesses et qui prennent une valeur de serment :
Nounours un jour, Nounours toujours !
Bref, quelque chose qui me laisse croire d’être au-dessus de la vie
ordinaire. Et croire, c’est décider d’être volontaire face à l’incertitude. Gardons
cette amitié rugbystique comme un privilège : tout simplement !
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