Nounours' Boys / Corneille et le poussin !

 Salut les Nours' !

 

Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort, nous nous vîmes trois mille en arrivant au port.... Nous avons, en accord avec les « ARCHIBALS », décider d'inverser cette citation de Corneille.

 

Avec 25 joueurs en tenue dans les deux équipes, de nouvelles règles rugbystiques ont été inventées. Un 12 contre 12, une heure durant, a toutefois permis de voir, des deux côtés, de très belles actions… Un match qui a débuté sur les chapeaux de roue par 10 minutes de toucher, puis 20 minutes de 22 mètres à l’autre, pour finir par 20 minutes sur terrain complet. Cette dernière étape a fini d'achever le magnifique physique de Nicolas ALOY qui a donc tenu plus de 10 minutes grâce à ces qualités athlétiques légendaires.

 

Le score final n'a que peu d'importance (5-5), au regard des conditions de jeu de la soirée. Cela a surtout permis de valider notre très bon début de saison sans défaite et de continuer à souder notre belle équipe d'autant plus que l'équipe d'en face a toujours été, et ce depuis des années, très compétitive. Le froid de la soirée polaire n'a pas rebuté notre Académie, garnie de 17 NOUNOURS, venue en plus grand nombre que les joueurs 😁. En effet, l’Académie était renforcée par quelques blessés fragiles des côtes, que sont « Roi de Bayonne Euskara » et Vincent alias « l'Américain ».

   

 

Ce match nous aura permis de voir LE premier essai sous les couleurs nounoursiennes de Antoine MÉLIQUE, notre « DUPONT » à nous. Essai qu'il a dignement fêté lors de la 3ème mi-temps en n'hésitant pas, avec ces acolytes Tabliers Noirs, à terminer le fût de bière pour délester le coffre de son Président. Une très belle réception d'après-match, organisé par les Tabliers Verts et cuisiné de main de maître par Robert DEJEU et Michel DARNAUDÉRY dont leur daube marinée 10 heures, connue un grand succès.

 

En parlant de "daube", nous en avons vu trois belles, grâce à Salem MAIZI qui permit à nos adversaires de marquer... trois essais. Cela lui a donc valu d'endosser le magnifique déguisement de poussin prévu pour l'occasion. Le poussin sera remplacé par un ours lors des prochaines rencontres : à bon entendeur, n’est pas @Antoine DUPOND/DUPONT ! 😂😂

 

Pour conclure, un énorme merci à « Titi de Gujan » pour son arbitrage de très grande qualité, n'en déplaise à Régis… 😂. Rendez-vous le 9 décembre, face à une nouvelle équipe MACAU, avec les Tabliers Rouges à la manœuvre...

 

Biz - @+   Relda – le 20 novembre 2021

 

message du 15 octobre 2021

Nounours' Boys / Simon m’était conté !

 

Salut les Nours' !

 

Premier match du nouveau Bureau des « Nounours’ Boys » et première victoire !  Nous avions commencé l'année sportive par une magnifique victoire 3 à 1 chez nos nouveaux copains de SADIRAC. Alors, pourquoi ne pas récidiver sur le même score face aux « Vieux du Scat » du BOUSCAT, équipe valeureuse, battante et parfois agaçante dans les rucks ?

 

Une Académie de vieux ursidiens toujours aussi enthousiaste, au bord de la touche, poussa nos petits oursons à devenir des ours. Des ours également galvanisés par le discours de leur capitaine à la mi-temps, lequel donna l’exemple en partant au ras, tête baissée, ayant délaissé le talonnage pour mieux faire parler la poudre en 3^ème ligne centre. Les rouges et blancs bouscatais se sont cassé les dents sur notre pack bien soudé, ne laissant passer qu'un seul essai sur une belle cocotte que n'aurait pas renié les anciens « Rapetous » béglais.

 

Malheureusement pour eux, cela ne suffit guère ! En amont, GREG, comme à l'accoutumée, marqua un essai en bout de ligne après une belle succession de passes. Un essai qui vexa notre « Talent d'Or » du soir, Mister SIMON, alias la « Fusée Bretonne » : les essais en bout de ligne, c'est pour moi, bordel de m... ! Hop, ni une, ni deux, il fit parler la foudre et alla aplatir au nez et à la barbe des trois-quarts adverses, tout décontenancés par ce qu'ils venaient de voir.

 

Un dernier essai à 5 minutes de la fin du match, marqué par « POTIOK » ; mais que « CAP’TAIN » aurait tellement souhaité lui être accordé afin de prouver qu'il sait enlever ses moufles quand il arrive dans l'en-but. Cet essai paracheva le travail d'une équipe de combattants qui sera, à mon avis, des plus dures à battre cette année.

 

Une mention spéciale à notre « BAYONNE » qui commença l'échauffement en chaussettes et qui, comme la semaine dernière, peut remercier Madame pour lui avoir amener ses crampons qui n'ont guère eu l'occasion d'être usés… Un coup dans les côtes mis fin rapidement à ses ambitions.

 

La Palme d'Or revient à notre super héros du soir, MONSIEUR CONSTANTIN BONNET, qui non content de bouffer du Bouscatais pendant 60 minutes, plaqua son propre partenaire, Salem MAIZI plus que surpris par cet attentat, lui qui normalement est le roi du « chic-chac » : tu m'as vu, tu ne me vois plus !

 

Un énorme merci à HERWIG pour ce délicieux repas préparé de main de maître et qui prouve que le diction « Nounours un jour, Nounours toujours » perdurera éternellement. Une 3^ème mi-temps de cette nouvelle année ne serait rien sans la voix de CHARLY qui comme à chaque fois, montra son bel organe sur des chansons que l'on entendait à l'époque des transistors… Bravo aux Tabliers Noirs pour l'organisation et il faut également un grand remerciement à nos amis du « L.V.D.S. », avant de passer à autre chose.

 

 

On donne rendez-vous aux Tabliers Verts pour notre futur match du 18 novembre.

 

 

Biz - @+   Relda – le 14 octobre 2021

Nounours' Boys / c’est en forgeant qu’on devient forgeron !

 

Salut les Nours' !

 

Il aura marqué les « Nounours’ Boys » de ces dernières années ! Il est arrivé en toute humilité, parrainé par le « Marquis », avec juste une particule en guise de richesse. « Mains d'or et chateau fort, le marteau et laminoir auront raison de mes colères noires ! ». Telle est la devise du Messire le Comte de LAFORCADE : tu seras forgeron, mon fils !

 

Le prénom Paulus est à l’origine, de Paul : ça signifiait, à l’époque, petit ou faible… Il y a eu erreur de casting ! Notre Paul, NNB, est tout, sauf un faible et sa grandeur d’âme est sans commune mesure. Un homme de valeur, enjoué, drôle, multitâches, multi talents… Il sait faire briller les autres plus que son cuivre. Plaqueur infatigable, gratteur fou, rugbyman valeureux, roi de la passe au ras, il était capable de tout faire basculer, un match, une table… et je ne parle pas de sa vie sexuelle !

 

Mais voilà, le mercato du rugby de haut niveau est sans concession. Son agent ne pouvait plus dire non, depuis le temps qu’il était harcelé par les grands clubs de la périphérie bordelaise qui veulent, eux aussi, connaitre la gloire des « Nounours' Boys » ! Le récent succès à SADIRAC aggrava encore la valeur marchande des contrats et les offres de rachat ont afflué sur mon téléphone portable, chaque jour ! Bien évidemment, j’ai réussi une négociation astronomique (une bière et une saucisse), pour un joueur  de cette qualité-là, avec nos frères ennemis de LA BRÈDE. Il faut savoir parfois laisser partir le plus gros sanglier pour laisser les petits grandir… C’est cruel, mais c’est ainsi !

 

Longue carrière rugbystique à toi Paul ! Tu resteras un « Nounours’ Boy » de cœur. Notre club sera toujours le tien, tu seras notre loyal représentant du rugby loisirs… L’ensemble de la communauté des « Nounours’ Boys » ne te souhaite que du plaisir et de la réussite ! A une autre fois sur le pré du Prez…

 

Biz - @+   le Prez – le 1^er octobre 2021

 

Nounours' Boys / du jamais vu !

 Salut les Nours' !

 Ce jeudi, 23 septembre, après une reprise sportive et musclée de ventrèches et saucisses, et d’un entrainement commun avec « Les Vieux Crampons » de CESTAS, nous retrouvâmes le chemin du match à l’extérieur. Comme un signe du destin pour conjurer le sort, ce sont « Les Tamalous » de SADIRAC qui nous accueillaient, ceux-là mêmes que nous avions reçus, lors du dernier match avant l’ère confinée.

 

Mais, autre temps, autre équipe et autre jeu ! Les « Nounours’ Boys », nombreux, grisés par la ventrèche, attirés par le fût, affutés part les coaches, motivés par le maillot, stimulés et enhardis par l’Académie, transpercèrent le terrain de Sadirac par des fulgurances rugbystiques. Des éclairs de jeu, des tonnerres de percussion, des avalanches de jeu au près, des attaques aux large diluviennes, des torrents de passes… L’orage de rugby des « Nounours’ Boys » s’abattait sur « Les Tamalous ».

 

Un match de référence pour les « Nounours », une première ligne de fédérale, une deuxième ligne qui aurait pu tenir la mêlée seule, une troisième ligne tellement mobile et gratteuse qu’on se serait cru dans un poulailler. Bien évidemment, « Bayonne » réinventa la règle du hors-jeu après être rentré par le coté : en fait, c’était une interprétation basque du règlement, évidemment que lui seul maitrise. Nos lignes arrières avaient le feu au cul, adroits, joueurs… On ne compte plus le nombre de fois où le ballon arriva à l’aile, ni les plaquages dévastateurs de Valentin, Greg, Fab, Yvan...  Mention « Très bien » à la charnière qui a su imposer du rythme, jouer dans le bon sens, en avançant, et mettre sur le reculoir ces « Tamalpartoutalafin ». Les « Nounours’ Boys » paraissaient invincibles ! Victoire par 3 essais à 1, avec panache : un régal ! 

 

Effet reprise, recrutement soigné, entrainement sérieux, ventrèches bien cuites, les ingrédients sont là pour briller cette année… Je rêve d’une année à zéro défaite !

 

Biz - @+   le Prez – le 27 septembre 2021

 

Nounours' Boys / la pinède au bord du lac !

 

Salut les Nours' !

 

Ni une pandémie, ni même un petit virus, n’auront de prise sur l’esprit et la tradition des « Nounours Boys » ! Ce ne sont pas deux saisons vérolées, amputées ou tronquées qui nous tueront. Bien au contraire, elles n’ont que renforcé l’esprit, l’engagement, la foi en notre rugby festif et attractif.

 

Du coup, les nouveaux arrivants étaient en nombre, ces deux dernières saisons… Du jamais vu, dans l’histoire des « Nounours Boys » ! Un signe du renouveau, ou plutôt de la continuité : la roue tourne et les années passent… l’Académie des ex-joueurs grossit, mais l’essentiel ne bouge pas et les NNB s’enracinent de plus en plus !

 

Il était donc temps, en ce week-end de rentrée, de fêter ces nouveaux joueurs, nouveaux venus, nouveaux filleuls car oui le parrainage reste la règle immuable pour devenir un digne « Nounours Boy ». Le parrainage restera pour nous fondamental et structurant pour ce club : le parrain et le filleul, s'engagent à se soutenir moralement pour suivre nos règles, pour s’intégrer dans l’association, voire dans cette famille. Alors bien sûr, comme on est malin, on n’a pas écrit de règles : comme ça, on peut les changer tout le temps ! Mais, qui pourrait dire qu’il n’y a pas de règles chez les Nounours ? Qu’il n’y’ a pas de principes ? Qu’il n’y a pas de valeurs ?  Qu’il n’y a pas de fondement, de lien ou de vérité ? Qui ?

 

Le magnifique site de Bombanes, annexé, trusté, colonisé par un groupement para- militaire armé de principes, nous accueillait, en camping de luxe, en lodges natures, dans la pinède surplombant le lac d’Hourtin. L’après- midi commençait fort, par un accrobranche digne de la « 7^ème Compagnie » (j’ai glissé, chef !) et de parties de pétanque à faire pâlir les gendarmes de Saint-Tropez…

 

La soirée parrainage, cru 2021, mettait à l’honneur quatre fillots : 

Julien P., Valentin, Bastien et Julien C. ...

1.      Julien P. était parrainé par une illustre gloire des « Nounours Boys », Serge VIEL. La cérémonie était très documentée, riche de vérité, Julien nous est apparu sous un nouveau jour : commando-marine, pêcheur et brasseur… Quelle panoplie inédite ! La vie d’un NNB paraît bien calme à côté de celle d’un commando-marine ; le poisson n’a qu’à bien se tenir ; et il nous tarde de déguster sa bière… Il a bien compris comment se faire adopter par la tribu des « Nounours Boys » : bienvenue, Julien !

 

2.     Valentin fut parrainé par Vincent, alias « l’Américain ».  La comparaison fut rude avec certains d’entre nous (je tairais les noms), tellement ce parrainé portait cet attribut pectoral comme un bijou d’ornement sur sa poitrine, une armure protégeant son corps, un atout pour des plaquages dévastateurs ! Heureusement son parrain le fit vite se rhabiller en black panthère, le retour ! Mais, il n’en est pas de ces frimeuses sur la plage, ni de ces sportifs exhibeurs de pectoraux : il est juste dorénavant un vénérable et assidu « Nounours Boy » : you are welcome !

 

3.     Un Julien cachant un autre Julien, Julien C fut parrainé par…Julien P ! Ex-gloire du SA Angoulême où il eut l’occasion de dessouder quelques adversaires, avec ou sans attribut pectoral ! Grand maître-chaudronnier, ses talents de soudeur furent mis à l’épreuve par son parrain : souder « ad vitam », comme gravé dans le marbre notre sceau NNB, sur une plaque en métal. Épreuve réussie avec succès : bienvenue dans la communauté des soudeurs du rugby ! Comme son parrain, les enseignements sur le loustic furent riches. Idem, il nous tarde de déguster sa production au parfum d’houblon… Bienvenue au soudeur de tout feu !

 

4.      Bastien était lui parrainé par Valentin. Ses talents de constructeur-tuyauteur furent testés. Manifestement, on ne lui confiera pas notre installation de plomberie, mais le potentiel est bien là ! Potentiel d’être un digne NNB qui défendra crânement nos couleurs (dont on débattra à l’assemblée générale) : welcome chez les « Nounours Boys ».

 

La soirée fut longue, les filleuls bien fêtés. À l’abri du vent, entre les lodges, les voisins étaient ravis. Quelques racines entravèrent un peu la démarche chaloupée de certains, mais l’honneur était sauf ! Heureusement, personne n’était tombé dans le lac. Au matin, peu d’entre nous profitèrent du lever de soleil sur le lac… Le café fort coulait, fort heureusement !

 

Les parrainages 2021, furent une vraie réussite, un excellent cru ! Longue vie à nos filleuls, au sein des « Nounours Boys ». Qu’ils soient les garants des valeurs du club… L’Académie vous surveille ! Merci au « Bureau », une fois de plus, qui nous avait concocte ce rendez-vous marquant pour nos âmes « Nounoursiennes ». On refera une cérémonie parrainages, en 2022 bien évidement. Qu’on se le dise !

 

Biz - @+   le Prez – le 21 septembre 2021

 

Nounours' Boys / en pleurs !

 

 

 

Salut les Nours' !

 

C'est avec une immense tristesse que je vous annonce le décès de Babeth, l’épouse chérie de notre éternel Président, Nounours...

 

Un club, une âme, une famille qui pleure aujourd'hui… La famille des Nounours est bien triste ! Cher Michel, reçois tout le soutien de la grande famille des Nounours que tu as fondée : nous sommes de tout cœur avec toi !

 

Nous ferons une minute de silence demain soir, en guise d’ultime adieu…

La cérémonie d’adieu se tiendra mercredi 7 juillet, à 14h, à Mérignac.

 

                                                          

   Biz - @+   le Prez – le 1^er juillet 2021

Nounours' Boys / vaut mieux cestas que jamais !

 

Salut les Nours' !

 

Nous y voilà et voilà, on respire ! Rendez-vous au café, rendez-vous au restaurant, rendez-vous au « peu importe ».

 

Les Nounours retrouvaient, hier soir, enfin le chemin non pas des restaurants, mais celui des vestiaires avec le match en prime ! Près de 23 joueurs avaient répondu présent. Bravo !

 

Cette trop longue interruption se faisait sentir dans les organismes  quelques peu remodeler par les apéros intensifs. Même si devant les franchissements furent valeureux, voire audacieux, nous nous fîmes trop facilement déborder et  franchir suite à des plaquages aussi tendres et inexpérimentés qu’une vierge Cestadaise, fusse-t-elle en crampons... Mais, qu’il fût bon de retrouver l’herbe, le maillot, le ruck, la touche et l’Académie en folie mieux que le retour de l’été !

 

Les vieux crampons de Cestas, fidèles à leur hospitalité, nous avaient préparé grillades de cœurs de canard qui nous regalèrent... Une bonne tranche de la vie « Nounoursienne » qui nous manquait tant !

  

                                              

Le score signe une reprise des entraînements terrible dès le premier jeudi de septembre : Coachs je vous attends ! Certainement, les masques seront dans les tiroirs comme de vieilles photos…

 

En attendant, rdv jeudi au five de St Médard en Jalles et vendredi 2 juillet à Gujan.

 

   Biz - @+   le Prez – le 25 juin 2021

Nounours' Boys / Et bien, nous y voilà !

 

Salut les Nours' !

 

Il y a dans l'air comme un vent de liberté depuis le début du mois de mai. Comme les amoureux naguère, on a tous offert son brin de muguet que ce soit avec les 13 clochettes porte-bonheur ou en chocolat. Ces petites fleurs blanches ont retrouvé leur senteur d’antan et elles vont bien finir par nous porter bonheur.

 

Le soleil revient flirter avec les nuages blancs. L’occasion de faire le plein de vitamine D et de regénérer les défenses immunitaires, comme une cure de jouvence ! Le vent souffle un peu plus fort et pousse les nuages du déconfinement à plus de 10 kms : comme un vent de liberté ! 

 

Et bien, nous y voilà ! On va se retrouver sur le pré… Trois petits tours de terrain et puis nous revenons… Comme une bouffée d'air frais dans ce monde confiné. Certes, tout ne sera pas tout à fait comme avant, et il faudra encore faire quelques concessions. Je vous l'accorde, c'est encore loin d'être parfait : les masques restent de rigueur ! Si cela ne suffit pas à vous redonner le sourire, on vous propose de faire une photo d’équipe avec maillot et masque pour se souvenir que lors de la saison 2020/2021, notre pire ennemi, c’est bien ce « putain de virus à la con »

Pour boire un verre en terrasse ou de faire une grande fête entre amis, on verra plus tard… Chaque chose en son temps !

Biz - @+   JYB/K’nar – le 18 mai 2021

Nounours' Boys / dis, ça fait combien de temps ?

 Salut les Nours' !

 Il y a un an, on nous annonçait qu’on était en guerre. On ne va pas se mentir, on voudrait tous signer l’armistice et retrouver notre "vie d'avant". Mais, c'est en traînant les pieds qu'on espère que cette troisième guerre mondiale ne durera pas encore 3 ans de plus, comme les deux autres précédentes… Tapis dans nos abris anti-covid, elle commence à être longue cette période... De confinements en couvre-feux, d’apéritifs en visio en soirées à 6 à la maison, le port du masque reste toujours de rigueur et en vigueur, dans un périmètre de 10 kms… BASTAGROS sera seul au footing du dimanche matin, sous le regard émerveillé de NOUNOURS…  Ou alors, on va tous élire domicile chez eux !

 

Allez, viens à la maison, y’a le printemps qui chante… Viens à la maison, tous les oiseaux attendent… Le printemps tape à la porte ! Vous le sentez, vous aussi, ce petit air printanier ? C'est le retour des oiseaux qui chantent, des fleurs qui éclosent et du pollen qui nous fait éternuer. Les vieux nous serinent avec leurs « seins de glace », certainement souvenir d’une vieille relation qui les glace encore…

 

Haut les cœurs ! Tout cela finira par prendre fin et, un jour, on regardera son calendrier en souriant sur le fait de n'avoir plus à prendre soin de nous. Après la pluie, vient le beau temps. Mais, avant la pluie, qu’est-ce qu’il y avait ? Pas le temps de réfléchir, on regrettera plus tard.

 

Car oui, il y aura une sortie du tunnel ! Le Président, himself, l’a annoncé à Pâques : dans quarante jours, nous pourrons aller en terrasse et trinquer au retour des bons jours. Ce sera la résurrection ! Quarante jours, cette durée symbolise donc le temps d'attente, d'épreuve ou d'apprentissage. J’espère qu’on ne se fout pas de nous comme de l’an quarante et qu’on sera sorti de notre quarantaine…                 

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Allez proclamer la bonne nouvelle à toute la région. C’est le retour des grillades parties et de la bière à volonté… Le tout à 5 € ! Celui qui croira sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné.

Biz - @+   JYB/K’nar – le 05 avril 2021

Nounours' Boys / le premier homme et le roi !

Salut les Nours' !

Revoilà le soleil, la douceur du printemps, les oiseaux... Bref, les beaux jours ! Rien de mieux qu'un peu de beau temps pour retrouver le moral. Et si jamais, ça ne suffit pas, je vous file une histoire de rugby pour garder le sourire.

C’est l’histoire d’une légende familiale… Plus exactement, c’est l’histoire d’une « Première Ligne » ! Ah, les mystères de la mêlée qui ne vit que de légendes et de vérités assenées telles des coups de poing. Trois en tête de ligne ! Tous de la même famille !

Comme vous le savez, la 1ère ligne du rugby est composée d’un Talonneur, enserrant deux Piliers dodus, les deux frères jumeaux de la mêlée. Il y a peu, le vieux coach, au béret rouge et à l’œil aiguisé, m’avait proposé de jouer « au talon », eu égard au profil de ma bedaine arborescente. Le coach avait perçu qu’un bon trois-quart-centre, en manque de vitesse, pouvait avoir l’intelligence de finir au cœur de la mêlée : « Tu seras quand même plus utile ici ! ». Là, me voilà grassouillet reconverti ! Comme une preuve d’une rude fraternité, j’ai levé les bras pour recueillir mes deux joufflus, pour les accueillir dans ce monde de brutes.   

Deux babies en guise de piliers, pour montrer que ce monde a besoin de ce socle-là pour se régénérer et créer des bases solides. Le numéro un est le premier homme de la famille : Adam ! Tu es le fils de Pierre et sur toi je bâtirai mon église… L’autre est né un 3 mars, ad hoc de son numéro dans le dos. Clé de voûte de la mêlée, il tient la baraque pour le compte des sept vaillants derrière : Arthur et les sept Chevaliers de la Table Ovale. 

Voilà, cette « Première Ligne » familiale constituée ! Elle est partie en quête du Graal : une beuchigue, de forme ovoïde, enveloppée dans une matière de tétine de biberon.

Tels Merlin, vous voilà les enchanteurs de la légende... On y croit !

Biz - @+   JYB/Knar – le 04 mars 2021

Nounours' Boys / je médite !

 Salut les Nours' !

 On ne va pas se mentir, le mois de janvier est traditionnellement une période difficile, suite aux abus des fêtes de décembre. L'ombre d'un troisième confinement nous inciterait à nous vider la tête. Le confinement ajoute à ce désarroi…

« Il faut absolument que j'aille courir ! ». Par un matin d’hiver, par un froid venu de Sibérie, Le Prez est retourné sur les lieux du crime et a constaté le blasphème suprême.? Des Bachibouzouks ont retiré les poteaux de rugby… Lénine, réveille-toi, ils sont devenus fous : le temps s’est écoulé et il a passé pour rien ! En forme de clin d’œil, cet aveu révèle bien dans quelle bouse on est ! Faillite sur le plan économique... Faillite sur le plan culturel... Faillite politique... Faillite sur le plan socio-relationnel également avec le gaspillage des valeurs humaines. Nous avons failli ! Nous sommes devenus un peuple asservi à la dictature covidienne. Les chemins de l'espoir se sont enfermés dans les tiroirs de la bureaucratie.

Le rugby est en peine de ses supporters. Une septième nation s’est invitée au Tournoi et a gagné, d’ores et déjà, la compétition par forfait de toutes les nations devant un public ouvert à sa cause… On dirait la saison passée des Nounours’ Boys où on gagnait tous nos matches par forfait… On faisait la troisième mi-temps entre nous et les finances du club subsistaient ainsi par un auto-financement. 

Bien loin de l'image vieillissante de vieux Nounours fainéants que d'aucuns pourraient avoir, nous voilà confinés à réfléchir sur nous-mêmes, comme une « covidothérapie », à défaut d’une vaccination imminente, inéluctable, inévitable. Carte Vermeil, carte merveille, monde qui s’éveille, demi-sommeil, mots d’autrefois qui bégayent, rubaga et topinambours d’avant-veille. Méditer stimulerait la dopamine, cette molécule du plaisir impliquée notamment dans la régulation des comportements, le temps d’attendre les vaccins ; la patience est amère et ses fruits si doux. Le miel de l’attente nous laisse saliver de plaisir. Le Prez nous a promis un repas de retrouvailles avec parrainages : il devrait arriver en juin, comme dab ! Je médite et je rêve de jours meilleurs...   Je médite et je pense à de jours d’honneur effaçant ces jours d’horreur. 

Je médite et je…

Biz - @+   JYB/Knar – le 04 février 2021

Nounours' Boys / bonne année ?

 

Salut les Nours' !

 

Les Rois Mages sont partis et la magie de Noël avec… Depuis le 31 décembre, à minuit, on a pu définitivement tirer un trait sur 2020. Le bilan n’est pas des plus réjouissants. Nous avons traversé tant de désillusions : année cafard ! Nous avons connu des hauts (si rares) et des bas (si nombreux) avec les confinements, les moments de joie puis de tristesse, les matches sans public, les rencontres sans contact, les concerts virtuels, les séquences de télétravail, le non essentiel et le présentiel, et les relations si essentielles dans nos moments de solitude. Gestes covidiens, gestes de comédiens…

 

Cette année, on a passé le réveillon sur le canapé, en restant tranquille chez nous, avec un plaid devant les écrans, à attendre le compte à rebours. Aussi, quand est venue l'heure du décompte, on s’est levé d’un trait et on a dit à l'année qui vient de s'écouler «basta, à jamais ! ». Whole Damn Year ! Toute une année foutue… Shit Year ! Année de merde ou année maudite… An foiré !

 

Elle est là, la douce année 2021 et ça lui va bien ! A chaque nouvelle année, c’est l’espoir du renouveau qui s’installe. Du coup, on repense à tous nos vœux au soir de l’année 2019 et on reste prudents dans nos promesses comme dans nos gestes. On est loin d’être libérés, délivrés comme le dit la chanson... Même les remontées mécaniques ne peuvent nous remonter le moral. Et pourtant, je veux croire que 2021 sera bien, bien meilleure car elle rime avec vaccin. Ainsi, on pourra sortir de chez nous et endosser nos armures de béotiens. On pourra embrasser nos proches, manger entre nous, trinquer nos verres, discuter sans masques, et enlacer nos aimés et nos amis. Bref, tout ce qui fait les élans des humains. Bref, retrouver tout ce qui fait le sel de la vie. En 2021, ce sera bien...! Mais, ça, je n’en sais rien ! Y’a du Gabin dans cette dernière phrase…

 

Allez, les Nours’, notre hibernation finira bientôt. C’est tout ce que je sais, mais ça, je le sais ! Je ne vous souhaite pas une bonne année, mais une meilleure année !

 

Life goes on ! 

 

Biz - @+   JYB/Knar - le 06.01.2021